Ecrire un poème en rime suivies : oui - ine - eur - ame - rac - elle
Temps d'écriture : 15 minutes
Il décida de partir loin
Temps d'écriture : 15 minutes
Il décida de partir loin
En Afrique à la recherche des babouins.
Dans l’avion, il avait bonne mine
Quand il se rendit compte qu’il allait en Chine !
Pas de problème pour ce chercheur
Il y trouverait le bonheur
Point d’animaux, mais une belle dame
A laquelle il a offert son âme.
Masseuse, elle lui mit le dos en vrac,
Quand il entendit « Crac » !
Dans ses bras, il chancelle
Mais sa belle étincelle le remit en selle…
Patricia
Partie me ressourcer à la Pointe du Groin,
Chercher l'air iodé tout au loin
Afin de retrouver une jolie mine
Et pour oublier cette quotidienne aspirine
Et tous ces jours de malheur
Pour enfin trouver un peu de douceur
A offrir en bouquet à mon âme
Pour qu'à nouveau elle s'enflamme
Après avoir été des mois en vrac
Tel un innommable bric-à-brac
Pour rallumer la petite étincelle
Afin de repartir dans la vie de plus belle!
Ziza
Comment en prendre soin,
Te sachant aussi loin,
Ce cœur est pris de famine,
Exposé à la vermine.
Il rêve à ton odeur,
Souvenir de ta douceur.
Il lutte de toute son âme,
Contre ce temps de drame,
Devenu démoniaque.
Il affronte ce ressac.
Attendant la nouvelle,
Du retour de sa belle.
Juan
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Partie me ressourcer à la Pointe du Groin,
Chercher l'air iodé tout au loin
Afin de retrouver une jolie mine
Et pour oublier cette quotidienne aspirine
Et tous ces jours de malheur
Pour enfin trouver un peu de douceur
A offrir en bouquet à mon âme
Pour qu'à nouveau elle s'enflamme
Après avoir été des mois en vrac
Tel un innommable bric-à-brac
Pour rallumer la petite étincelle
Afin de repartir dans la vie de plus belle!
Ziza
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Comment en prendre soin,
Te sachant aussi loin,
Ce cœur est pris de famine,
Exposé à la vermine.
Il rêve à ton odeur,
Souvenir de ta douceur.
Il lutte de toute son âme,
Contre ce temps de drame,
Devenu démoniaque.
Il affronte ce ressac.
Attendant la nouvelle,
Du retour de sa belle.
Juan
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A l'enclos des cynocéphales, il vit des babouins.
Son regard avait tendance à se perdre dans les coins.
Dans son esprit, il se sentait un peu dans la vaseline,
Un peu comme s'il était tombé au fond d'une ravine.
Sans doute pensait-il à ce moment chuter dans le bonheur,
Le sait-il seulement lui qui n'avait plus peur.
Il continuait à regarder les singes se demandant s'il vivait un drame,
Les cris s'entrechoquaient et formaient le fond sonore d'une trame.
Mon Dieu, son pauvre cerveau était vraiment en vrac,
Toutes ses pensées se mélangeaient en un étrange bric à brac.
Il voyait les animaux monter et descendre d'une sorte d'échelle,
Alors peu à peu, il se sentit bien et comme remis en selle.
Gérard
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De moi-même enfin prendre soin
Pour de toi, des autres, n’avoir plus besoin
M’aimer, m’admirer, et d’ici jusqu’en Chine
Mes talents exprimer sans souci des sévères mines
Qui pourraient se dessiner, honnis jugeurs
Sur vos visages amers et sondeurs
Pour retrouver le parfum délicat de mon âme
M’y enivrer et le partager, désormais sans drame
Sans peur, sans laideur, le livrer tel qu’il est même en vrac
Dans sa pureté, confiant, innocent, plus jamais le trac
De vos rires, de vos mots, de mes maux car voilà celle
Que je suis, et je me choisis, je célèbre mon étincelle.
Agnès-Sarah